“pour en revenir à vos dames,on les dit bien belles.quelle fichue idee d’aller s’enterrer dans les steppes,quand l’arm ee francaise est a moscou.quelle chance elles ont manque celles—là.vos moujiks c’est autre chose,mais vous autres gens civilises vous devriez nous connalatre mieux que ca.nous avons pris vienne,berlin,madrid,naples,rome,varsovie,toutes les capitales du monde…on nous craint,mais on nous aime.nous sommes bons à connalatre.et puis l’embpereur.”1他开始打开话匣了,但皮埃尔打断了他。
“l’empereur,”皮埃尔重复了一遍,他的脸色突然变得忧郁和困窘起来。“est—ce que l’empereur…”1“l’empreur?c’est la generosite,la clemence,la justice,l’ordre,le genie,voilà l’empereur!c’est moi ramballe qui vous le dit.tel que vous me voyez,j’etais son enemi il y a encore huit ans.mon père,a ete comte emigre…mais il m’a vaincu,cet homme.il m’a empoigne.je n’ai pas pu resister au spectacle de grandeur et de gloire dont il couvrait la france.quand j’ai compris ce qu’il voulait,quand j’ai vu qu’il nous faisait une liti ère de lauriers,voyez vous,je me suis dit:voilà un souveran,et je me suis dornneè a lui.eh voilà!oh,oui,mon cher,c’est le plus grand homme des siècles passes et à venir.”2